L’évolution du cumul estival de l’ETP ne fait pas apparaître de dépendance très nette aux reliefs de proximité ni de causalité bien définie. Il varie, sur le domaine, de +40 à +100mm en 50 ans. Les valeurs les plus élevées se forment sur une moitié Sud du Massif, mais sans localisation particulière.
Les cartes directes aux échéances 2000 et 2050 montrent la forte dépendance de l’ETP estival aux diverses expositions et configuration de reliefs de proximité. Les évolutions de +100mm correspondent à des évolutions relatives de l’ordre de +25%.
Ce sont les évolutions absolues saisonnières les plus importantes, mais elles sont dépassées en valeurs relatives par celles du printemps.