En moyenne zonale, c’est sur la saison du printemps que l‘évolution des températures est la plus rapide à la hausse. C’est à mettre en lien avec l’évolution à la baisse des précipitations (voir cartes ad-hoc) sur une majeure partie du domaine. La gamme d’évolution varie de +1,8 à +3°C en 50 ans. Dans la mesure où l’assèchement est plus important en vallées exposées et en plaine, c’est là où se situent les évolutions les plus rapides, tandis que l’altitude est plutôt un facteur modérateur (-0,2°C par 100mètres en 50ans). Les évolutions les plus radicales ont lieu sur les plaines de la Limagne et du Forez.
Si on compare les échéances 2000 et 2050, on voit que les températures les plus hautes, qui abordaient le Massif central par le Lot en 2000 (température supérieure à 11,8°C) se répandent à plus de 50% du territoire d’ici à 2050.